Santé physique
Troubles du sommeil, sédentarité, manque d'activité physique, obésité et pathologies chroniques associées, ainsi que fatigue visuelle sont fréquemment observés chez les jeunes surexposés aux écrans.
Qui sommes-nous ?
Child First Project est un think tank dédié à la protection et à l'épanouissement des enfants à l'ère numérique. Nous plaçons l'intérêt supérieur de l'enfant au cœur de chaque décision liée aux écrans et aux technologies.
95%
des plus de 15 ans passent plus de 30 heures par semaine en ligne, presque autant qu'en classe. Une journée faisant toujours 24 heures, la majorité du temps hors de l'école est désormais vécue sur un écran.
Cette transformation fulgurante, survenue en quelques années seulement, modifie en profondeur le quotidien des enfants et des adolescents. Les études menées jusqu'ici font émerger des signaux d'alerte préoccupants pour leur bien-être global.
Pourtant, les chercheurs rappellent la complexité des mécanismes à l'œuvre : usages, contenus et plateformes évoluent à un rythme effréné. Plutôt que désigner l'écran comme unique coupable, nous choisissons d'interroger sa conception même pour le rendre compatible avec le développement harmonieux des plus jeunes.
Comprendre les impacts
Santé mentale
Certaines études lient l'intensité d'usage des réseaux sociaux à une hausse des tentatives de suicide chez les 15-25 ans et même chez les plus jeunes, soulignant la vulnérabilité de l'adolescence.
Risques numériques
Algorithmes enfermant dans des bulles informationnelles, exposition à la pornographie, à la violence extrême, au harcèlement et aux cyber-prédateurs sont désormais des menaces quotidiennes pour les enfants.
Ces constats sont documentés par la recherche internationale, mais exigent un principe de précaution et des investigations approfondies pour guider les politiques publiques et les pratiques familiales.
Notre ambition
Child First Project s'engage à concevoir un environnement numérique qui devienne un allié du développement des enfants. Nous explorons comment les avancées technologiques peuvent servir leur bien-être, plutôt que le menacer.
En remettant l'intérêt supérieur de l'enfant comme principe fondamental du droit, nous voulons inspirer des solutions concrètes pour bâtir un écran à son service : un support qui protège, stimule et favorise l'épanouissement des générations futures.